Quand Ma Femme Se Lâche Au Bal De L’Été - Première Partie

Quand ma femme se lâche au bal de l’été

Cette histoire nous est arrivée bien avant le COVID, quand la chaleur de l’été nous faisait faire des folies.

Enfin, notre week-end tant attendu en amoureux arrive. Les s sont gardés, nous allons pouvoir nous retrouver ensemble, nous aimer et faire vibrer nos corps encore éperdument attirés l’un par l’autre après plus de 10 ans de vie commune. C’est moi, Morgan, qui ai organisé notre escapade, que j’espère très coquine. Il fait grand soleil ce samedi, nous prenons la route pour le sud, direction un petit village de Provence. Le trajet est un vrai palier de décompression de nos vies trop chargées, petit à petit on retrouve notre complicité. Et comme toujours voir ma belle se détendre, me rend de plus en plus amoureux et plein de désir. Après la pause déjeuner, nous reprenons l’autoroute, c’est le moment où ma belle Adèle aime généralement faire une petite sieste. C’est le moment où j’aime la rejoindre pour caresser son corps brûlant, me glisser doucement vers son entrejambe et venir lécher sa délicieuse petite chatte blonde. Mais aujourd'hui je conduis, donc pas de folie. Adèle s’est endormie, son siège est allongé au maximum. Sa respiration apaisée et son corps détendu ne me laisse pas insensible. D’une main, je me lance à l’aventure sur ses cuisses, je la caresse doucement mais avec le désir d’aller plus loin. Au contact de ma main, elle se laisse glisser sur son siège et s’ouvre à moi. Est-elle vraiment endormie ? Rêve-t-elle d’un moment coquin, avec moi, ou avec un autre homme…? Cette idée m'excite beaucoup, et je compte bien en profiter. Je glisse ma main sous sa jupe qui remonte encore, pour laisser apparaître...non pas une culotte sexy, mais sa petite chatte blonde bien entretenue! Quelle coquine...elle sait que cela me rend fou de désir quand elle se balade sans culotte. Ca n’est pas souvent qu’elle me fait ce cadeau, qui m’informe clairement sur ses envies pour le weekend.

Mon sexe est maintenant bien trop à l'étroit dans mon boxer, cette chaudasse qui se balade la chatte à l’air me fait clairement bander. De son côté, je vois que son sexe n’est pas endormi, lui, une petite mouille perle entre ses lèvres fines. Je viens chercher ce nectar délicieux et je m'attèle à caresser ma beauté endormie. Du bout des doigts je relève son petit capuchon, et je viens faire tournoyer mon index sur son clitoris tout gonflé. Sa respiration s’accélère et son corps ondule de plaisir, elle gémit délicieusement mais garde les yeux fermés, rêve ou réalité, je crois qu’elle aime aussi garder le flou. Ma bite est tellement dure, mais elle doit rester prisonnière car je n’ai que deux mains. Ce corps abandonné et offert est un cadeau, j’en profite du bout des doigts mais il pourrait recevoir tellement plus.. Des appels de phares me rappellent à la réalité: je suis sur l’autoroute et je dois rester concentré (aussi) sur la conduite. Sur l’autoroute, il y a aussi des poids lourds, je comprends alors que les appels de phares de celui de derrière ne venaient pas se plaindre de ma distraction. Au contraire, ils me signalaient l’envie de partager cette distraction. Adèle est toujours endormie, réveillée je ne pense pas qu’elle se laisserait exhiber. Je décide de profiter de son sommeil pour partager ma belle avec ce pauvre routier loin de sa femme. J’amène mon véhicule à bonne proximité du poid lourd et je reprends mes caresses de plus belle, en ayant pris soin de remonter un maximum les vêtements de ma bien aimée. Ce petit jeu d’exhibition interdite me rend fou. Adèle doit le sentir car son corps se raidit et elle jouit intensément sous mes doigts. Je la laisse ainsi offerte aux yeux passagers et je reprends ma conduite, la bite au bord de l’explosion.
Je sors à la prochaine aire car j’ai besoin de faire une petite pause. En arrêtant la voiture, ma belle se réveille. Elle découvre sa tenue largement ouverte et regarde en souriant:
- Eh ben, je ne pensais pas m’être endormie comme ça! C’est toi qui m’a fait ça mon beau?
- Oui, je n’ai pas pu résister à ton corps endormi.
Je t’ai caressé dans ton sommeil, ça ne t’a pas réveillé?
- Si un peu, mais c’était tellement bien que je n'ai pas voulu ouvrir les yeux, je me suis laissé aller à tes caresses, c’était trop bon, j’ai joui super fort.
- Quand j'ai découvert ta petite chatte libre d'accès, je n'ai pas pu résister. J’adore te caresser quand tu dors, ça me met dans tous mes états.
- Hmm mon chaud lapin, j’adore te faire bander. Je suis heureuse que ma petite surprise t'ai fait de l'effet.
Elle glisse la main sur mon pantalon et constate que mon sexe est toujours gonflé. Elle se faufile alors sous ma ceinture et couvre ma bite de sa main experte. Elle me murmure à l’oreille “j’ai très envie de te sucer...mais il y a trop de gens autour de nous, tu devras patienter jusqu’à ce que ce soit possible”. Il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que j’explose. Mais j’aime aussi garder ma tension sexuelle à son maximum. C’est donc en essayant de dissimuler une belle érection que je suis ma belle à la station d’autoroute pour un café. Sur le parking, j’aperçois le poid lourd qui est resté longuement à mes côtés pendant l’exhibition de ma femme endormie...coïncidence?!
Nous prenons un café debout, au milieu de quelques personnes. J’ai reconnu notre routier qui mate discrètement ma femme. J’imagine son bouillonnement intérieur après l’avoir vu complètement offerte dans la voiture. Hélas pour lui, la situation a changé , Adèle est maintenant habillée et ignore tout de ce qui la lie à cet homme. Je décide de m’éclipser aux toilettes pour voir si le malheureux profite de mon absence pour aborder ma belle. J’ai le cœur qui bat à 100 à l’heure, comme à chaque fois que j’abandonne ma beauté à proximité d’un mâle en rut. Elle est tellement canon et sexy, blonde aux yeux bleus, avec un corps fin et des fesses délicieusement rebondies. Ses tenues d’été, courtes aux cuisses et moulantes en haut sont un délice que je lis dans le regard des hommes qui la croisent...
J’attends donc dans les sanitaires, le cœur battant.
Je prends mon temps pour laisser les choses se faire de l’autre côté de la porte qui me sépare d’Adèle et de cet homme qui meurt d’envie de jouir de ma magnifique femme qu’il a vue nue. Au bout de 5 minutes, qui m'ont parues une éternité, je me décide à sortir. J’imagine retrouver ma femme à la même place, car je sais qu’elle ne se prête pas à ce genre de jeu en général. Mais notre histoire m’a appris que si les conditions sont réunies et que l’homme lui plait, elle peut devenir très chaude. Ces aventures se comptent cependant sur les doigts d’une main en plus de 10 ans de vie commune. Aussi, je suis très surpris lorsque je ne retrouve pas ma femme au coin café. Le routier a lui aussi disparu. Je regarde alentour, dans les rayons du magasin, elle n’est pas là non plus. J’ai l’impression que les quelques personnes qui nous ont vus rentrer ensemble, me regardent bizarrement. Mon trouble doit se lire sur mon visage, je décide de retourner à la voiture, elle y sera sûrement. Arrivé à la voiture, je ne trouve personne. Je regarde alentour, pas d’Adèle non plus. Au loin, je vois la cabine du routier avec ses rideaux tirés, mais je ne saurais pas dire s' ils étaient déjà tirés tout à l’heure ou non. Désemparé, je m’installe dans la voiture. Un mélange d’inquiétude, de jalousie et d’excitation m’envahit, qui s’ajoute à la tension sexuelle qui m’habitait déjà. Il faudrait que je sorte mon sexe et que je me branle pour soulager cette tension. Impossible au milieu de ce parking bondé. Et puis je n’en ai pas envie, je me rappelle que c’est un jeu que l’on joue ensemble. Un jeu à deux qui nous amène à des états d’excitation et de transe, à peu près l’état dans lequel je suis maintenant. La portière s’ouvre, je ne saurais pas dire combien de temps j’ai attendu:
Adèle - Ah tu es là, je t’ai cherché partout.
- Moi aussi je t’ai cherché partout. Où étais-tu?
- Il m’est arrivé un truc surprenant, il faut que je te raconte: Quand tu es parti aux toilettes, j’étais tranquille avec mon café, encore la tête dans ma sieste coquine.
Un homme est venu me parler. Il m’a dit que j’étais très jolie, et qu’il voudrait bien m’offrir un autre café.
- Ok..ça fait toujours plaisir. Il était comment? qu’est-ce que tu as répondu?
- Il n'était pas spécialement beau, mais assez viril. Je lui ai dit merci pour le compliment. Et puis que mon mari allait revenir d’un instant à l’autre. Il m’a dit qu’il t’avait vu et qu’il pensait que ça te dérangerait pas que je me fasse draguer par lui. J’ai pas trop compris pourquoi. Il m’a ensuite dit qu’il était routier, et m’a montré son camion. C’est le rouge là-bas. Il m’a dit qu’il m’attendrait dans sa cabine pour me payer le café. J’étais tellement surprise que je n’ai pas su quoi répondre, j’ai juste souri. Il est parti en me regardant et moi je suis allé aux toilettes.
- Effectivement, c’est une sacrée histoire. Je comprends très bien ce routier. Moi aussi si je te croisais dans ta jolie jupe, j’aurais envie de t’inviter pour “un café”.. Et alors, est-ce que tu as envie de le rejoindre dans sa cabine maintenant?!
- Haha, très drôle, je sais que tu aimerais ça mon chaud lapin. Mais c’est hors de question. Démarre, on a rendez-vous à l’hôtel pour 17h.
Je décide de garder pour moi les explications du comportement cavalier de ce routier. Je le raconterai peut-être ce soir au lit à Adèle, pour la chauffer.
Arrivés un peu en avance, nous décidons de nous arrêter pour une baignade au bord d'une ravissante rivière. Après quelques pas, nous découvrons une petite plage tranquille. Nous sommes apparemment tout seul dans le coin, je propose donc à ma sexy une baignade naturiste. Adèle est toujours hésitante à se mettre nue à la rivière ou à la mer, alors que je suis persuadé que si quelqu'un devait la voir ainsi, il en serait ment ravi ! Ma belle est décidément d'humeur coquine aujourd'hui, et je la vois se déshabiller devant moi, avant de se glisser dans l'eau telle une sirène. À cette vue, mon sexe commence à se gonfler, je me jette à l'eau pour calmer tout ça. Après une bonne baignade et quelques baisers aquatiques, j'annonce à ma belle que je vais aller me poser sur ma serviette pour dormir un peu car la conduite m'a crevé. Je m'endors sur la plage, regardant au loin ma beauté qui se balade nue sur les galets. C'est en pensant aux rencontres qu'elle va sûrement faire le long de la rive que je m'endors…
Lorsque je me réveille, je découvre Adèle entre mes jambes, mon sexe dans sa bouche. Elle a pris ma bite encore endormie entre ses lèvres expertes, et elle le fait gonfler doucement à l'aide de sa langue toute chaude. Adèle suce divinement. Elle me dévore maintenant avec appétit, je la sens bien chaude. Elle s'aperçoit que je suis maintenant réveillé:
Adèle - Tu vois moi aussi je sais profiter de toi pendant ton sommeil. Je t'avais dit que je mourrais d'envie de te sucer, j'ai pas pu attendre ton réveil pour te prendre dans ma bouche!
- Hmm mon bébé, c'est trop bon ce réveil. Tu as bien fait de ne pas te retenir. Je suis tellement excité depuis ta sieste coquine sur l'autoroute. D'ailleurs je voulais te dire que je ne t'avais pas tout raconté sur ce routier dragueur.
Je profite du fait qu'elle soit occupée à me pomper la bite bien fort pour lui raconter l'histoire complète. Elle s'interrompt quelques instants au début, pour être sûre de bien comprendre ce que je lui raconte. Puis elle reprend sa pipe en m’écoutant lui parler de son exhibition à son insu, mais je la sens un peu moins concentrée sur ma bite. Lorsque j'ai fini mon récit, je n'ose pas la regarder. Je ne sais pas quelle va être sa réaction. Elle a arrêté de me sucer, et se contente de me branler doucement en réfléchissant à ce que je viens de lui avouer. Elle me regarde alors avec un air inattendu. Elle remonte jusqu'à mon oreille et vient me murmurer chaudement:
- Tu es un sacré pervers toi. Mais je commence à te connaître, et figure toi que j'ai moi aussi un secret à te raconter.
À ses mots, mon cœur s'emballe et mon excitation se mêle de stress. Elle a toujours ma bite dans sa main, et son corps vient se lover contre moi. Elle s'installe confortablement pour me raconter son histoire. Je suis en extase et pétrifié.
Adèle - En fait, pendant ma sieste sur l’autoroute, rapidement tes caresses m'ont réveillée. Mais je n'ai pas bougé car j'aimais cette ambiance semi-endormie. C'est donc les yeux entrouverts que j'ai découvert ton petit jeu avec le routier. Je l'ai très bien vu me mater à travers la vitre. Je te trouvais très gonflé, mais j'étais aussi obligée de constater que ça m'excitait énormément que tu m'exhibes comme ça. J'ai joui d'ailleurs très fort.
Quand nous sommes arrivés à la station autoroute, j'ai tout de suite reconnu notre routier. Je t'avoue que ça n'a pas été facile de faire comme si de rien n'était quand il me matait avec insistance en ta présence. Comme je te l'ai raconté, quand tu es parti, il est venu me parler. Mais contrairement à ce que je t'ai dit, au lieu de me complimenter, il est venu près de mon oreille et a dit d'une voix très chaude : "salut petite salope, si tu veux pas que je raconte tout haut ce que j'ai vu tout à l'heure, tu vas me suivre immédiatement". Une sueur froide m'a traversée le corps, et j'ai dû m'accrocher à la table pour ne pas perdre pied. Il a profité de cette faiblesse pour m'attr par le bras et m'amener avec lui. Nous avons pris un couloir donnant accès à un espace réservé aux routiers pour leur douche, à cette heure de la journée c'était heureusement désert. De toute façon je ne contrôlais plus vraiment mon corps, je ne sentais que sa force qui me portait presque et mon cœur qui battait. Il nous a enfermé dans une cabine de douche et m'a plaqué contre le mur. Il a essayé de m'embrasser mais je me suis dérobé. Il m'a dit qu'il s'en foutait, c'était pas pour ça qu'il me voulait. Tout en me maintenant avec force contre le mur, il a fourré sa main sous ma jupe pour découvrir ma petite chatte, qui à ma grande surprise était toute dégoulinante de désir. À partir de ce moment-là, il a su que j'étais excitée par la situation et il ne s'est pas privé pour en profiter.
Morgan - Putain ma chérie tu me rends fou avec ton histoire. Tu sens dans ta main à quel point ma bite est dure ! Qu'est ce qu'il s'est passé ensuite ?
Adèle est redescendue vers mon entrejambe, tout en frôlant ma bite du bout des lèvres, elle a continué son histoire :
- Ensuite.. Il a glissé ses doigts dans ma chatte trempée. J'étais tellement excitée par cette situation que je n'ai pas pu m'empêcher de gémir. Il a pris mes cris pour des encouragements et a redoublé ses caresses. Il m'a dit que j'étais une vraie salope qui avait le feu au cul. Ma jupe était maintenant entièrement remontée et mon haut aussi. Cet homme inconnu avait accès à tout mon corps. Je pensais à toi, en train de m'attendre, mais je me disais que c'était toi qui avait déclenché tout ça, et que tu devrais donc attendre. Pendant ce temps-là, il continuait à me toucher, sa force et sa virilité faisaient dégouliner ma chatte. Puis, en gardant ses doigts dans ma chatte et maintenant mon corps de son autre bras, il m'a ordonné de lui dire que j'étais une bonne pute et que j’avais envie de le sucer. La situation était tellement inattendue que j'ai à peine réussi à prononcer ses mots, pourtant je dois t'avouer qu'à ce moment-là je n'avais qu'une seule envie, c'était de le sucer. Il m'a dit que je pouvais faire bien mieux que ça.
Adèle m'a alors regardé et m'a dit comme si elle parlait au routier :
- Je suis ta pute et je veux que tu jouisses dans ma bouche. Je lui ai dit ça clairement, en m'agenouillant devant lui. J'ai encore des frissons de ce moment. J'ai sorti sa bite tendue de son pantalon et je l'ai prise dans ma bouche. Il était très dur et j'ai senti à quel point je l'excitais. Il me baisait la bouche et j'avais même du mal à contrôler le rythme des aller-retour. Il m'a dit que j'avais de la chance qu'il n'ait pas de capote sinon il m'aurait baisée bien profond. Je m'appliquais tellement à le pomper qu'il n'a pas tardé à jouir, et j'ai recraché tant bien que mal son sperme chaud se vidait dans ma bouche. Ensuite, aussi rapidement qu'il était arrivé dans ma vie, il est reparti. Je me suis rafraîchie le plus possible, et je t'ai rejoins, avec l'envie de jouir et de me faire prendre bien fort.
- Woaw.. Eh ben je t'avoue que je suis sacrément surpris par ton récit, tu caches bien ton jeu mon amour. Je suis à deux doigts de jouir moi aussi. Je suis épaté par ton audace et par ton petit jeu avec moi. Merci.
- C'est vrai, ça te dérange pas que je me sois comportée comme une vraie salope ?
- Non, au contraire, je suis heureux que tu aies pu te lâcher et que l'on partage cette aventure ensemble. Tu me rends fou ma belle. J'ai envie de te prendre, j'imagine que tu en meurs d'envie...et si le routier avait eu une capote, t'aurais voulu qu'il te baise ?!
- Honnêtement.. Oui, j'avais très envie qu'il me baise bien fort. Il était tellement chaud que j'imagine à quel point il m'aurait claqué la chatte.. J'aurais voulu qu'il me prenne par derrière comme une chienne…
À ses mots, j'explose dans la bouche d'Adèle, un orgasme à la hauteur des aventures qu'on venait de vivre. Elle vient se coller à moi pour me dire qu'elle aurait bien aimé que je la prenne ici sur la plage. Mais vu que je viens de jouir, elle voudrait bien que je la fasse jouir avec ma bouche. J'adore le goût de sa chatte, et je m'apprête à descendre entre ses cuisses quand d'autres visiteurs apparaissent un peu plus loin. Impossible de continuer nos petits jeux, et vu l'heure nous décidons de rejoindre l'hôtel. C'est donc chargée à bloc que nous reprenons la route, Adèle chaude et en manque, moi sur un nuage..
Le réceptionniste de l'hôtel nous informe que la fête du village à laquelle nous souhaitons assister commence dès 18h00. Nous prenons donc rapidement place dans notre jolie chambre d’hôtel. Adèle file dans la salle de bain se préparer et moi je prends le temps de découvrir les lieux. La chambre est spacieuse, avec un grand lit et un joli fauteuil capitonné. Une porte fenêtre donne accès à un balcon qui a une vue sur toute la place du village, j'aperçois la scène, la piste de danse, le bar...tous les ingrédients d’une bonne fête de village. A mon tour je passe par la douche pour me faire une beauté, sans manquer de caresser les fesses de ma belle devant le miroir. A l’heure dite, nous sommes près pour le bal..

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